Le tribunal de la ville côtière de Boulogne-sur-Mer a également interdit au sergent de se présenter à l’audience. Laurent M. de servir pendant deux ans en raison des événements du 31 juillet 2018.

Elle l’a également condamné pour avoir fourni un faux témoignage sur les événements, mais elle ne l’a pas fait.innocenté deux autres officiers subalternes qui avaient soutenu son récit.

Le port de Calais, dans le nord du pays, est un point de passage clé pour les migrants qui tentent d’entrer dans le pays. Le port de Calais, dans le nord du pays, est un point de passage clé pour les migrants qui tentent de rejoindre la Grande-Bretagne, avec des camps informels qui surgissent régulièrement pour héberger les migrants réguliers. Les camps informels surgissent régulièrement pour abriter l’afflux constant de personnes qui espèrent se glisser dans un camion traversant la Manche vers la Grande-Bretagne. Angleterre.

Plusieurs groupes de soutien aux migrants britanniques sont actifs dans la région.

Les trois officiers de police anti-émeute de la CRS faisaient partie d’une équipe déployée pour enlever migrants d’une zone proche de la rocade de Calais.

Un face-à-face avec un groupe de volontaires britanniques a eu lieu, au cours duquel Laurent .M. a frappé Tom Ciotkowski, un employé du conseil municipal de Stratford upon Avon, qui était en train d’étudier la question. qui faisait du bénévolat pour le groupe Help Refugees.

La police a prétendu que Ciotkowski avait “poussé (Laurent M.) dans la poitrine” et qu’il avait été blessé.La police a déclaré que Ciotkowski avait “poussé (Laurent M.) dans la poitrine” et l’avait traité de “salope”, ce qui a incité le policier à riposter. légitime défense et provoquant la chute des deux hommes par-dessus une barrière de sécurité.

Ciotkowski a été arrêté et inculpé à la suite de l’incident, mais a été innocenté des faits suivants tout acte répréhensible lors de son procès en 2019 sur la base d’une vidéo montrant l’attaque. sur lui n’était pas provoquée.

La vidéo le montre seul tombant sur le sol, près de la trajectoire d’une voiture de police. camion venant en sens inverse.

La condamnation de Laurent M à 18 mois de prison avec sursis est plus sévère que la peine d’un an de prison ferme. avec sursis que l’accusation avait requis.

L’un de ses deux co-accusés s’en sort avec un blâme et l’autre échappe à la justice. action disciplinaire.

Le procureur Dorothée Perrier a déclaré à la cour de Boulogne-sur-Mer qu’elle avait le “désagréable sentiment” que les officiers avaient menti pour “couvrir des actes de violence”. violence et justifier une arrestation gênante” (de Ciotkowski).