Les viticulteurs et les fruiticulteurs français allument des bougies et arrosent les vignobles et les vergers pour protéger leurs vignes et leurs cultures fruitières des températures négatives qui sévissent dans plusieurs régions françaises.
Un grand nombre de bourgeons précoces apparus en mars alors que la température dépassait les 20 degrés sont maintenant en danger : la nuit, la marque du thermomètre a atteint moins 7 degrés Celcius dans différentes régions de France.
Le prix d’une bougie est de 10 euros et il faut 600 bougies par hectare. Comme les efforts semblent être assez coûteux, certains agriculteurs doivent choisir les raisins les plus précieux à sauver et laisser le reste aux forces de la nature.
Le gel de printemps a frappé les vignobles français l’année dernière, entraînant des pertes de l’ordre de 2 milliards d’euros.